La dentisterie holistique considère que la dent est un organe en soi, certes isolé, mais en interaction constante avec le reste du corps. Dans les années 70, une étude sur l’énergie dentaire menée par le Dr Jean Orsatelli de l’Université de Marseille a montré qu’il existait un lien entre les dents.
L'origine de l'énergie dentaire
En se concentrant sur les recherches menées par le Dr Orsatelli, un médecin a décidé de faire de cette science son fer de lance pour rendre hommage à ce que son maître, le Dr Albert Roths considère. Il a également été inspiré par deux homéopathes reconnus, les docteurs Jean Meuris et Skevos Picramenos, qui l'ont encouragé à rédiger sa thèse de doctorat sur un sujet de l'homéopathie. Toutes ces réunions lui ont appris à traiter chaque patient dans son ensemble, en se concentrant sur tous ses symptômes et non sur une pathologie particulière.
Corrélation entre les dents et les organes
La médecine énergétique mise au point par le Dr Roths montre qu'il existe une relation entre les dents et les organes. C'est l'exemple de Luc, quatorze ans, opéré de sa scoliose dans un hôpital de Lyon. Après l'opération, qui était impeccable, Luc est toujours paralysé et annonce qu'il ne marchera plus jamais. Sa mère, qui refuse d'abandonner, a décidé de consulter le Dr Nogier, précurseur du traitement atrium, qui déclare qu'il ne peut rien faire car une dent bloque le flux d'énergie.
Immédiatement, Luc fait une radio qui ne montre aucune pathologie, mais une dent dévitalisée. Cependant, le Dr Nogier insiste sur l’existence d’un élément empêchant le passage de l’énergie. Ensuite, la dent dévitalisée a été retirée et il s'est passé quelque chose d'inattendu: pendant le retrait de la dent, le gros orteil de Luc s'est déplacé. Avec le soutien du Dr Nogier, il a retrouvé l'usage de ses jambes et a une vie normale.
Il s'est avéré que peu de temps avant l'opération, Luc avait rendez-vous chez le dentiste pour traiter une carie qui devait être dévitalisée, ce qui interrompait le flux d'énergie et le flux d'informations. Selon le Dr Roths, il s'agit d'un cas de résonance entre la dent et le traumatisme de l'opération. Il dit que "la dent n'est pas un clou posé sur une planche, mais bien au contraire". C’est l’endroit privilégié où passe tout un circuit d’énergie, et au-delà de la dent, de la mâchoire, du chewing-gum et de la joue, c’est ce qu’il appelle la boîte à énergie. "
Selon la médecine dentaire, il est impossible de soigner certaines maladies. sans avoir précédemment résolu de problèmes dentaires, le Dr Roths a créé une carte des relations qui unissent les dents aux organes, appelée somatotopie dentaire.
La canine inférieure gauche est souvent liée à la cystite et à la constipation.
La première molaire inférieure gauche est liée aux maladies cardiovasculaires et à la pression artérielle.
L'incisive latérale supérieure et la prémolaire supérieure sont liées au genou.
Un test simple pour détecter l'origine de la douleur
Selon le Dr Roths, avant de procéder à une extraction, il faut distinguer la source de la douleur et savoir exactement quelle dent est malade. Pour détecter la ou les dents d'origine, effectuez un test simple et efficace. Trempez une petite tige de coton dans un anesthésique froid et touchez toutes les dents; Si le contact d'une dent avec le froid provoque une douleur dans le corps ou la mâchoire, vous saurez alors laquelle des deux provoque des problèmes et quels en sont les maux.
Ce test a été réalisé à deux reprises chez l’un de ses patients pour détecter d’une part la source de sa douleur aux tibias et, d’autre part, celle de sa douleur musculaire au bras droit. Les résultats ont montré qu'une seule dent était commune dans les deux tests, il a donc décidé de l'extraire. Après l'extraction, la douleur dans le bras a disparu et celle dans les jambes a été réduite.
Il semble que certains experts médicaux commencent à s'intéresser au langage des dents: au niveau des services hospitaliers à haut risque, il est automatiquement demandé quelles dents ont été enlevées ou dévitalisées, ce qui tend à réduire le risque d'échec thérapeutique. et éviter les complications.